AccueilActualités* Les dirigeants des BRICS n'ont pas discuté du lancement d'une nouvelle monnaie commune ni d'un agenda de dé-dollarisation lors du sommet de 2025.
Le sommet a eu lieu à Rio de Janeiro avec les principaux leaders de la Chine et de la Russie absents.
Discussions axées sur les règlements commerciaux en monnaies locales entre les pays membres.
Les leaders ont critiqué le Fonds monétaire international (IMF) et la Banque mondiale pour leur biais perçu en faveur des États-Unis et des nations occidentales.
Aucune nouvelle politique économique majeure ou décision n'a été annoncée lors de l'événement.
Le sommet BRICS de 2025 s'est tenu à Rio de Janeiro sur deux jours, avec les nations membres clés se réunissant pour discuter de la coopération économique. L'événement a été dirigé par le Premier ministre indien Narendra Modi et le président brésilien Lula da Silva. Les dirigeants de la Chine et de la Russie étaient absents. Malgré un intérêt antérieur pour la formation d'une monnaie commune BRICS et la promotion d'une agenda de dé-dollarisation, aucun de ces sujets n'a été discuté lors du sommet.
Publicité - Selon des rapports de l'événement, les participants au sommet ont évité de mentionner ces deux initiatives précédemment proéminentes. L'"agenda de dé-dollarisation" vise à réduire la dépendance au dollar américain dans le commerce et la finance mondiaux, tandis que la monnaie commune proposée offrirait une alternative pour les transactions transfrontalières entre les pays BRICS. Au lieu de cela, les leaders se sont concentrés sur le potentiel de régler le commerce dans leurs monnaies locales respectives.
Lors du sommet, les leaders des BRICS ont exprimé des critiques à l'encontre du FMI et de la Banque mondiale, affirmant que les deux organisations sont « biaisées en faveur des États-Unis et d'autres nations occidentales tout en ignorant la région du Sud global. » La déclaration reflète les préoccupations de plusieurs pays membres selon lesquelles les systèmes financiers internationaux actuels accordent des avantages injustes aux puissances occidentales. Les dirigeants ont exprimé leur frustration face à ce qu'ils ont décrit comme un soutien économique insuffisant pour les pays en développement.
Malgré ces critiques, le sommet des BRICS n'a pas donné lieu à de nouvelles politiques majeures liées au commerce mondial ou à l'intégration économique. L'alliance a principalement souligné un malaise persistant avec les politiques menées par les États-Unis et l'Occident, mais a évité de prendre des décisions formelles sur un éloignement du dollar américain ou le lancement d'une nouvelle monnaie partagée.
L'absence de discussion sur des questions clés telles que la dé-dollarisation et une nouvelle monnaie marque un changement par rapport aux précédents sommets des BRICS, où ces sujets étaient au centre des préoccupations. Les participants au sommet ont noté que bien que le groupe n'ait pas fait avancer ces questions, il ne les a pas officiellement abandonnées et pourrait les revoir à l'avenir.
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Le Sommet BRICS 2025 ignore la nouvelle monnaie, les plans de dédollarisation
AccueilActualités* Les dirigeants des BRICS n'ont pas discuté du lancement d'une nouvelle monnaie commune ni d'un agenda de dé-dollarisation lors du sommet de 2025.
Lors du sommet, les leaders des BRICS ont exprimé des critiques à l'encontre du FMI et de la Banque mondiale, affirmant que les deux organisations sont « biaisées en faveur des États-Unis et d'autres nations occidentales tout en ignorant la région du Sud global. » La déclaration reflète les préoccupations de plusieurs pays membres selon lesquelles les systèmes financiers internationaux actuels accordent des avantages injustes aux puissances occidentales. Les dirigeants ont exprimé leur frustration face à ce qu'ils ont décrit comme un soutien économique insuffisant pour les pays en développement.
Malgré ces critiques, le sommet des BRICS n'a pas donné lieu à de nouvelles politiques majeures liées au commerce mondial ou à l'intégration économique. L'alliance a principalement souligné un malaise persistant avec les politiques menées par les États-Unis et l'Occident, mais a évité de prendre des décisions formelles sur un éloignement du dollar américain ou le lancement d'une nouvelle monnaie partagée.
L'absence de discussion sur des questions clés telles que la dé-dollarisation et une nouvelle monnaie marque un changement par rapport aux précédents sommets des BRICS, où ces sujets étaient au centre des préoccupations. Les participants au sommet ont noté que bien que le groupe n'ait pas fait avancer ces questions, il ne les a pas officiellement abandonnées et pourrait les revoir à l'avenir.
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